Naissance à Toulon (Var)

Crée et diffuse le Diable bleu, petit journal en soutien aux soldats mobilisés.

Adhésion aux Jeunesses socialistes.

Renonce à poursuivre ses études. Devient responsable régional des Jeunesses communistes.

Devient l’un des neuf responsables de la Fédération des jeunesses communistes.

Arrestation et emprisonnement pour propagande antimilitariste.

Présent au 1er congrès des Jeunesses communistes.

Présent au 1er congrès du Parti communiste – Section française de l’Internationale communiste (PC-SFIC).

Quitte Marseille pour Paris. Délégué des Jeunesses auprès du Comité directeur du parti de mai 1922 à mai 1923.

Participe au IIIe congrès de l’Internationale communiste des jeunes. À son retour part à Rome.

Devient militant permanent.

Emprisonné pour son action contre l’occupation de la Rhur. Libéré le 25 mai.

Délégué permanent à la propagande dans les Bouches-du-Rhône.

Membre du Comité directeur du parti communiste.

Secrétaire administratif du parti communiste.

Responsable de la rubrique internationale de l’Humanité.

Élection au Comité central. Secrétaire de la Main d’œuvre étrangère (MOE).

Mariage avec Mathilde Taurinya, ouvrière et belle-sœur d’André Marty.

Dans les Balkans.

Campagne législative à Toulon.

N’est pas réélu au Comité central.

Emprisonné un an à la Santé, pour des articles écrit dans l’Humanité.

Campagne législative à Marseille.

Candidature municipale à Marseille. Péri est en Espagne.

À Londres.

Réintègre le Comité central. Prend en charge pour la seconde fois une partie du travail en direction des travailleurs immigrés, en particulier parmi les ressortissants italiens.

Élu député de la première circonscription de Seine-et-Oise. Directeur politique du journal communiste local Le Prolétaire.

Commence à siéger à la commission des Affaires étrangères de la Chambre.

En Indochine dans une délégation du Secours rouge internationale.

En Espagne.

Réélu député. Accède à la vice-présidence de la commission des Affaires étrangères de la Chambre

En Afrique du Nord.

En Tchécoslovaquie.

S’investit contre les accords de Munich.

Interdiction de la presse communiste. Le Progrès d’Argenteuil (qui a succédé en 1937 au Prolétaire) est épargné quelques semaines.

S’oppose à la négociation visant à obtenir la légalisation du parti communiste et de ses journaux.

Invité, comme membre du Comité central, à se prononcer sur le projet de constitution d’un Front national pour l’indépendance de la France.

Arrestation par la police française.

Remis aux autorités allemandes.

Fusillé au Mont-Valérien.